VIVE la LIBERTE !
Vivre ses rêves, rêver sa vie… tout commence par un rêve… et parfois s’arrête à celui-ci.
Nous sommes tous pareils… nous passons une partie de notre temps dans notre tête.
Croyez-moi, il n’est pas possible de vivre sa vie et d’être dans sa tête en même temps.
Alors bien sûr, quand je suis dans ma tête…je suis en vie…mais je ne vis pas. Je ne vis pas l’instant présent : qu’il soit agréable ou désagréable.
J’ai découvert cela…il y a maintenant des années lors d’une séance que je recevais. J’ai fait la distinction entre «être là » ou « être dans ma tête ». La plupart des gens « partent dans leur tête » pour de nombreuses raisons : parce que le dîner de famille est trop long, que cet accouplement hebdomadaire n’est pas réellement souhaité, que la peur du lendemain les amène à fuir la réalité ou parce que l’émotion de l’autre leur est insupportable. Mais attention ! ça peut aussi être des aspects positifs qui les font fuir : trop de réjouissance ou de plaisir, trop de bonheur potentiel dont ils ne savent pas « vivre l’intensité dans leur corps » et qu’ils fuient dans « une rêverie »…
Lorsque je « choisis » de me laisser aller à des pensées vagabondes…je le fais consciemment mais combien de fois sommes-nous victime d’un « fusible » émotionnel qui nous laisse « partir » dans nos pensées pour ne juste pas « sentir » la réalité de ce que nous vivons et donc devoir ou mieux « pouvoir » faire face à des décisions, changements, actions qui nous amèneraient à créer une meilleure réalité pour nous-même ? Est-ce que si je sentais vraiment la situation je resterais dans ce job ennuyeux ? Cette relation insatisfaisante ?
Dans mon constat, face à la douleur notamment, cette fuite onirique coupe la réelle capacité du corps à «processer», comme si le corps se mettait sur pause. Dans ce « stand by » physique, le mouvement ne guérison ne peut se faire complètement et l’émotion ne peut donc pas être digérer. La personne stocke alors, sous diverses formes : tensions, malaises, douleurs, surpoids,… ce mouvement inassouvi.
Se reconnecter à nous-même, au corps, à « là où nous en sommes », nous permet d’accompagner ce mouvement vers sa pleine réalisation, de le compléter et de redonner à notre corps l’énergie, la liberté et la santé.
Trouver le moyen de vous reconnecter complètement à votre corps. C’est de là où vous êtes que vous pourrez le mieux vivre, choisir, là où vous voulez aller.
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